au-kouign-amann-patisserie-montreal

Semaine de relâche et nouvel horaire

Nous serons fermés du 4 au 9 mars 2024 durant la semaine de relâche. Nous serons de retour le mercredi 13 mars.

Nouvel horaire : nous serons désormais fermés tous les mardis. Nous vous accueillons du mercredi au vendredi de 7h à 15h ainsi que le samedi de 7h à 16h30.

Au Kouing-Amann, la pâtisserie de Montréal

Au 316 avenue du Mont-Royal Est, cela fait plus de 35 ans qu’on aime le kouing-amann. 

Véritable café de quartier, patron et employés s’unissent pour proposer chaque jour, des viennoiseries gourmandes (faites avec passion !), ainsi que le fameux kouing-amann. 

Laissez-vous tenter par un moment de gourmandise dans une ambiance familiale et chaleureuse qui dure maintenant depuis près de trois décennies.

En attendant de compléter notre équipe, notre horaire est restreint ainsi que les produits proposés. 

À présent, nous sommes ouverts du mardi au vendredi de 7h à 15h et samedi de 7h à 16h30. 

Nous vous invitons fortement à commander votre kouign-amann à l’avance par téléphone au 514 845-8813. 

Merci beaucoup !

au-kouign-amann-montreal

Retraçons l'histoire du kouing-amann

Les origines

La découverte du kouing-amann est assez controversée. Chacun décrit son histoire, sa recette et ses légendes. Certains disent qu’un boulanger essaya de faire une pâte à pain avec des proportions assez étranges ce qui lui donna une pâte ratée, d’autres expliquent sa drôle de recette par une pénurie de farine durant les années 1870 et d’autres encore voient une ressemblance avec le Wermer-brôd, ce gâteau suédois qui contient les mêmes ingrédients.

Mais tous s’accordent à dire que le kouing-amann se déguste nature et tiède avec une bolée de cidre telle que la tradition douarneniste le souhaite.

Les ingrédients

Pour faire un bon kouing-amann, il suffit de trois ingrédients :

300g de farine,
250g de beurre
250g de sucre.

A cela, rajoutez un cube de levure de boulanger, un verre d’eau et demi et un peu de sel. Une fois ces ingrédients réunis, tout réside dans le mélange de la pâte. Seuls certains boulangers en connaissent l’art et la manière.

Un proverbe breton résume assez bien le savoir-faire
du kouing-amann :
« Le fait qui veut, le réussit qui peut ».

Les particularités de ce gâteau

Le kouing-amann n’est pas un gâteau comme les autres. Il obéit à quatre particularités :

1. La qualité du kouing-amann : son équilibre entre le beurre et le sucre fait toute la différence,

2. Le kouing-amann est toujours du jour,

3. L’aspect du kouing-amann se veut caramélisé, feuilleté, moelleux et fondant en bouche. La présentation du gâteau se fait sous forme de scarification en losange,

4. La fabrication de cette pâtisserie est unique car chaque kouing-amann se fait un à un et non de façon industrialisée. Le kouing- amann de Douarnenez, celui confectionné par les artisans de la ville, se veut nature et sans ajout de fruits. Tel quel, il est bien meilleur.

Comment servir le kouing-amann ?

Le kouing-amann est meilleur servi tiède. Préchauffez votre four à 400°F. Lorsque votre four est chaud, enfournez le kouing-amann sur son papier de cuisson pendant 10 minutes. Sorti du four, laissez-le reposer durant 5 minutes sur le comptoir afin que le caramel redevienne croquant. Utilisez un couteau de chef sans dent pour le couper. Bonne dégustation !

Un matin au Kouing-Amann

Et le croissant ?

Le croissant est un petit pain en pâte feuilletée roulé et incurvé en forme de croissant de lune. Il est l’incontournable du petit-déjeuner à la française.

Quelle est son origine ?

Le croissant a été « crée » en 1683 à Vienne en Autriche alors assiégée par les Turcs à ce moment de l’histoire. 

Une nuit alors que tout le monde dormait, les boulangers de la ville, éveillés pour travailler, sonnèrent l’alerte d’une attaque ottomane. L’assaut fut repoussé et la ville de Vienne sauvée. C’est pour récompenser et immortaliser cette victoire que les boulangers viennois confectionnèrent le 
« Hörnchen » signifiant petite corne en allemand et dont la forme rappelle le symbole du drapeau ottoman.

En France vers 1770, c’est Marie-Antoinette d’Autriche, originaire de Vienne qui officialisera le croissant dans la capitale française, ce qui donnera vie au terme viennoiserie.

Quelques-unes de nos gourmandises